"Selon des informations envoyées par certains opposants, l'heure est à la trahison, au coup bas au sein de l'opposition djiboutienne.
Ces opposants, qui se réclament de l'aile dure, nous ont fait parvenir certaines informations, parmi lesquels des communiqués et même une vidéo, que nous mettrons en ligne prochainement, pour dénoncer les comportements de plusieurs dirigeants de l'opposition.
A en croire ces informations, des hauts responsables du MRD, de l'ARD, et de l'UDJ, qui sont aussi bien à Djibouti qu'à l'étranger, sont prêt à tout pour rejoindre IOG, jusqu'à même se "prostituer". Ils seraient tentés par la trahison et les coup bas, tandis que d'autres ont déjà fait défection.
En attendant la publication intégrale de ces communiqués, nous vous proposons ci-dessous un aperçu en quelques extraits.
Le premier texte est un extrait de la réponse d'un opposant de première heure, qui a reçu personnellement de la part de DAF son appel de la jeunesse djiboutienne qu'il a lancé récemment sur internet :
" Monsieur,
Dernièrement, vous avez (toi et le mercenaire Mahdi) osé aussi m’envoyer un communiqué dans lequel vous me demandez d’intercéder pour dénoncer l’emprisonnement de Houssein Siradj parce qu’il a participé aux manifestations contre le 3e mandat de Guelleh alors que son but réel est de briguer un poste au sein de l’Assemblée dite nationale de Guelleh..."
"....Au début de l'indépendance, Siradj a trahi le MPL et est devenu ministre dans le gouvernement de Gouled et de son neveu Guelleh. Par après, il a été au service de l’information de Guelleh «La Nation» tout comme tu l’as fait avec zèle lorsque tu occupais le même poste. Aujourd'hui, toi et la pseudo opposition UAD (dirigée par l’ARD, complice des crimes de Guelleh) prétendez qu’ il est devenu un grand démocrate. Un peu de sérieux, SVP ! "...
" .... A présent, tu as envoyé un appel à la jeunesse djboutienne alors que tu sais mieux que quiconque que l’UAD va présenter un candidat médiocre à la dernière minute, à l’élection présidentielle, du 8 avril 2011, en le présentant comme un jocker ! Dis-moi, qui sera le candidat de l’UAD, cette dernière qui est dominée par les traîtres de la 3e faction du FRUD, appelée par défaut ARD, est-ce toi ou Kadamy ou Mahdi ? " ....
" .... Pire encore, dans ton appel en parlant de Guelleh, tu as écrit ce qui suit: « …un homme pris en otage par la petite clique de rapaces qui l’entoure » Tu m’étonnes beaucoup monsieur l’opposant ! À te lire, on croirait que Guelleh est un agneau qui est manipulé par des loups ! " .....
Le texte ci-dessous est un extrait du communiqué qui dénonce les manipulations des partis d'opposition qu'ils appellent de pseudo-opposition :
" .... De grâce, messieurs les Harkis, cessez donc d'amener notre jeunesse, pieds et mains liés sur l'échafaud de votre maître, Guelleh comme vous l'avez fait tout récemment au Nord du pays (à Tadjourah et à Obock)...."
" ....Vos agitations, vos manipulations et vos cogitations enfanteront seulement quelques postes de députés pour un petit groupe de dirigeants de la 3e faction du FRUD, appelée par défaut ARD ainsi que seulement un député pour chacun des partis suivants: le MRD, l'UDJ, le PDD... De plus, peut-être aussi un poste de ministre pour le mégalomane, raciste et escroc notoire Aden Robleh Awaleh (qui viens de recevoir une pécule de l’homme qui était le bras droit du dictateur Guelleh, le chef du PLD, Abdourahman Boreh) qui a plagié mon idée transmise concernant «le poste de vice-président de la république» que j’ai transmise dans mon message adressé à son menteur de «Colistier», Mohamed Chehem Daoud le mardi, 4 janvier 2011 "....
Parmi les communiqués qui nous ont parvenu, voici un extrait de celui qui concerne le fameux Aden Robleh Awaleh :
" ..... Est-ce pour plagier les programmes des autres candidats à l’élection présidentielle que notre «Zéros» de l’indépendance refuse de présenter son programme politique et prétend qu’il va le faire qu’«au dernier jour du vote» ? Ou bien, son cervelet d’oiseau n’a pas d’idée pour pouvoir présenter un programme digne d’un chef d’État ? D’ailleurs, on a eu la preuve lorsqu’il a déterré l’UMD dont j’ai moi-même été Représentant en Amérique du Nord pour l’UMD originale, il a prétendu que c’est une nouvelle coalition ! Cet espion de l’Éthiopie d’Haïlé Sélassie et de Mengistu Haile Mariam est à court d’idée ! ...."
" ..... Le résumé du «Manifeste» qu’il en a fait publier, le 10 janvier 2011 et non pas le 26 décembre 2010, est un plagiat conforme qu’il a tiré du MANIFESTE ORIGINAL DE L’UMD, élaboré par une seule personne, Ismaël Ibrahim Houmed (qui lui aussi a trahi le FRUD, il est aujourd’hui ambassadeur E.P. du président Guelleh) et ce, même si cette union a été créée par le FDLD et le MNDID (d’Awaleh) et que les 2 signatures qu’on retrouve en bas du texte dudit Manifeste sont celles du traître Mohamed Adoyta Youssouf (Cousin germain de Mohamed Kadamy) et de lui-même. Je suis prêt à envoyer sur demande le Manifeste original de l’UMD par TÉLÉCOPIEUR à qui voudrait en avoir une copie...."
Un autre extrait du communiqué concernant l'exploitation des commémorations du massacre d'Arhiba de 1991 par la pseudo-opposition :
" .... Aujourd'hui, je suis scandalisé de voir des tortionnaires et des criminels de tout acabit prétendre commémorer ce triste massacre. Parmi ceux qui ont commémoré en décembre 2010, le 19ème anniversaire de ce triste massacre, figure un certain Ahmed Ibrahim Abdillahi, lieutenant de l'armée de l'air. Le lieutenant Ahmed est depuis peu de temps représentant en Amérique du Nord du MRD de DAF, alors qu'il projetait ses victimes à partir de son hélicoptère. QUELLE FUMISTERIE ! .... "
"
http://www.djibouti24.com/index.php?option=com_content&view=article&id=305%3Alopposition-a-lheure-de-la-traitrise&catid=1%3Alatest-news&lang=fr
Djibouti
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lundi 17 janvier 2011
"Conseil des ministres maintenu"
"Contrairement à ce qui a été envisagé dernièrement, le conseil des ministres du mardi 18 janvier semble avoir été maintenu.
Selon des sources concordantes, le conseil des ministres de demain, mardi 18 janvier, est bel et bien maintenu. Le différend opposant le premier ministre, Dileita Mohamed Dileita, à son ministre de la santé, Abdallah Abdillahi Miguil, a été réglé définitivement.
La bagarre qui a opposé les deux hommes dans la salle du conseil des ministres, et qui est encore dans toutes les mémoires, semble appartenir au passé. L'heure est à la cohésion au sein du gouvernement. Le président Guelleh en a décidé ainsi, sans toutefois toléré un autre écart de ce genre.
Un président qu'on dit très motivé au point de vouloir partir, après la fin du conseil des ministres, en Egypte afin de participer au sommet économique des pays arabes, le 19 février. A son retour, IOG participera à la convention de l'UMP qui est prévue jeudi soir prochain au Karting Club, à l'ancien Club Hippique, où il sera investi officiellement candidat de l'UMP aux élections présidentielles d'avril 2011.
La semaine prochaine, le président Guelleh s'envolera pour Addis Abeba afin de participer au sommet annuel de l'union africaine. Un sommet, dit-on, où il pourrait rencontrer le président français, Nicolas Sarkozy."
http://www.djibouti24.com/index.php?option=com_content&view=article&id=304%3Aconseil-des-ministres-maintenu&catid=1%3Alatest-news&lang=fr
Selon des sources concordantes, le conseil des ministres de demain, mardi 18 janvier, est bel et bien maintenu. Le différend opposant le premier ministre, Dileita Mohamed Dileita, à son ministre de la santé, Abdallah Abdillahi Miguil, a été réglé définitivement.
La bagarre qui a opposé les deux hommes dans la salle du conseil des ministres, et qui est encore dans toutes les mémoires, semble appartenir au passé. L'heure est à la cohésion au sein du gouvernement. Le président Guelleh en a décidé ainsi, sans toutefois toléré un autre écart de ce genre.
Un président qu'on dit très motivé au point de vouloir partir, après la fin du conseil des ministres, en Egypte afin de participer au sommet économique des pays arabes, le 19 février. A son retour, IOG participera à la convention de l'UMP qui est prévue jeudi soir prochain au Karting Club, à l'ancien Club Hippique, où il sera investi officiellement candidat de l'UMP aux élections présidentielles d'avril 2011.
La semaine prochaine, le président Guelleh s'envolera pour Addis Abeba afin de participer au sommet annuel de l'union africaine. Un sommet, dit-on, où il pourrait rencontrer le président français, Nicolas Sarkozy."
http://www.djibouti24.com/index.php?option=com_content&view=article&id=304%3Aconseil-des-ministres-maintenu&catid=1%3Alatest-news&lang=fr
"Camouflet pour l'UDJ à Arta"
"Ce qui devait être une simple visite de contact, s'est transformé en cauchemar pour Ismail Guedi Hared et son parti, l'UDJ. Lors de leur déplacement à Arta, la semaine dernière, des responsables de l'UDJ, dont leur président, Ismail Guedi Hared (IGH), ont été chassé d'Arta, alors qu'ils étaient partis pour une simple visite de contact. Ce déplacement, des responsables de l'UDJ, à priori arrangée, était les préliminaires pour un prochain meeting que l'UAD souhaitait programmer à Arta.
Mais IGH, peu sûr des artaouis, a voulu rencontrer personnellement d'abord les notables et autres personnalités de la ville pour s'assurer de leur soutien, histoire de tâter le terrain et avoir le coeur net.
C'est ainsi que les dirigeants de l'UDJ se déplacérent à Arta, rassurés surtout par leur représentant local, qui, semblait-il, avait préparé une rencontre entre la délégation et quelques notables de la ville.
Mardi matin, la délégation de l'UDJ quitta Djibouti-ville aux environs de 9. A bord d'un 4x4 appartenant à IGH, elle arriva 45mn plus tard aux portes de la ville. Après avoir traversée les résidences privées, la délégation arriva sur la place publique, au niveau du carrefour qui est situé dans la ville, et tomba nez à nez sur une foule compacte que les passagers du véhicule ont d'abord pris pour leurs sympathisants.
Mais que fût leur surprise, quand la délégation réalisa qu'il ne s'agissait pas de sympathisants de l'UDJ, ni de l'UAD, mais d'une foule hostile à leur égard qui hurlait et bloquait la route.
Mais qu'est ce qui se passe ?
Apparemment, les artaouis, informés de la visite de l'UDJ, ont décidé d'adresser une fin de non recevoir à ceux qu'ils considèrent comme des opportunistes, des visiteurs de circonstance.
En agissant ainsi, les artaouis voulaient montrer à IOG qu'ils sont avec lui. Il faut dire que, outre les réalisations en faveur de la région, le président Guelleh est bien chez lui à Arta, et il a l'habitude de passer ses week ends. On dit qu'il reçoit régulièrement, dans sa résidence privée, les natifs du coin.
Quant aux responsables de l'UDJ, fasse au hurlement de la foule qui a encerclé leur véhicule, ils étaient obligé de rebrousser chemin et reprendre illico presto la route en direction de Djibouti-ville. C'est ce qu'on appelle, faire
un "Touch-and-Go".
"
http://www.djibouti24.com/index.php?option=com_content&view=article&id=303%3Acamouflet-pour-ludj-a-arta&catid=1%3Alatest-news&lang=fr
Mais IGH, peu sûr des artaouis, a voulu rencontrer personnellement d'abord les notables et autres personnalités de la ville pour s'assurer de leur soutien, histoire de tâter le terrain et avoir le coeur net.
C'est ainsi que les dirigeants de l'UDJ se déplacérent à Arta, rassurés surtout par leur représentant local, qui, semblait-il, avait préparé une rencontre entre la délégation et quelques notables de la ville.
Mardi matin, la délégation de l'UDJ quitta Djibouti-ville aux environs de 9. A bord d'un 4x4 appartenant à IGH, elle arriva 45mn plus tard aux portes de la ville. Après avoir traversée les résidences privées, la délégation arriva sur la place publique, au niveau du carrefour qui est situé dans la ville, et tomba nez à nez sur une foule compacte que les passagers du véhicule ont d'abord pris pour leurs sympathisants.
Mais que fût leur surprise, quand la délégation réalisa qu'il ne s'agissait pas de sympathisants de l'UDJ, ni de l'UAD, mais d'une foule hostile à leur égard qui hurlait et bloquait la route.
Mais qu'est ce qui se passe ?
Apparemment, les artaouis, informés de la visite de l'UDJ, ont décidé d'adresser une fin de non recevoir à ceux qu'ils considèrent comme des opportunistes, des visiteurs de circonstance.
En agissant ainsi, les artaouis voulaient montrer à IOG qu'ils sont avec lui. Il faut dire que, outre les réalisations en faveur de la région, le président Guelleh est bien chez lui à Arta, et il a l'habitude de passer ses week ends. On dit qu'il reçoit régulièrement, dans sa résidence privée, les natifs du coin.
Quant aux responsables de l'UDJ, fasse au hurlement de la foule qui a encerclé leur véhicule, ils étaient obligé de rebrousser chemin et reprendre illico presto la route en direction de Djibouti-ville. C'est ce qu'on appelle, faire
un "Touch-and-Go".
"
http://www.djibouti24.com/index.php?option=com_content&view=article&id=303%3Acamouflet-pour-ludj-a-arta&catid=1%3Alatest-news&lang=fr
"Cheick Sharif à Djibouti"
"Le président somalien est attendu cet après midi à Djibouti pour une visite de 24h. Le président du TFG, gouvernement de transition fédéral, Cheick Sharif Cheick Ahmed devrait atterrir à l'aéroport international d'ambouli aux alentours de 16h pour une visite de 24h.
Après son arrivée à Djibouti, le président somalien devrait être accueilli d'abord par son homologue djiboutien, le président Guelleh, qui doit le recevoir à priori au Kempinski Palace.
Dès demain, les deux présidents se rendront à Nagad pour participer à la cérémonie de remise de diplômes marquant la fin de la formation des 500 policiers somaliens qui aura lieu à l'académie de police de Nagad.
Ces policiers somaliens avaient suivi durant trois mois une formation dispensée par la police nationale dans le cadre des efforts des nations unies à appuyer le gouvernement fédéral somalien.
Signe tangible du succès de la formation, les policiers somaliens ont pu assuré, conjointement avec la police nationale, les opérations de contrôles routiers durant la nuit du nouvel an."
http://www.djibouti24.com/index.php?option=com_content&view=article&id=302%3Acheick-sharif-a-djibouti&catid=1%3Alatest-news&lang=fr
Après son arrivée à Djibouti, le président somalien devrait être accueilli d'abord par son homologue djiboutien, le président Guelleh, qui doit le recevoir à priori au Kempinski Palace.
Dès demain, les deux présidents se rendront à Nagad pour participer à la cérémonie de remise de diplômes marquant la fin de la formation des 500 policiers somaliens qui aura lieu à l'académie de police de Nagad.
Ces policiers somaliens avaient suivi durant trois mois une formation dispensée par la police nationale dans le cadre des efforts des nations unies à appuyer le gouvernement fédéral somalien.
Signe tangible du succès de la formation, les policiers somaliens ont pu assuré, conjointement avec la police nationale, les opérations de contrôles routiers durant la nuit du nouvel an."
http://www.djibouti24.com/index.php?option=com_content&view=article&id=302%3Acheick-sharif-a-djibouti&catid=1%3Alatest-news&lang=fr
"Rebondissement dans le vol des hangars de KMH"
"Nouveau rebondissement dans l'affaire concernant le vol de certains hangars gérés par la première dame de Djibouti, Kadra Mahamoud Haid (KMH). Selon certaines informations, les deux employés de KMH, suspectés d'avoir cambriolés des hangars gérés par la première dame (voir notre article "On a volé Kadra Moud Haid") et transférés à la sinistre prison de Gabode, ont été rélâché récemment, officiellement, pour insuffisance de preuve.
Mais selon la rumeur, ils auraient été libérés après les pressions familiales sur le parquet. Les proches du magasinier et du chauffeur ont exigé leur libération, à moins d'inculper aussi leurs complices.
Apparemment, les prévenus auraient tenté de dénoncer, en vain, leurs complices auprès des enquêteurs, peu de temps après leur arrestation, en donnant les noms de ceux qui étaient impliqués avec eux dans ce vol.
Se basant uniquement sur les éléments l'enquête de la SRD (Service des Recherches et de la Documentation) de la gendarmerie nord, le parquet avait placé les deux suspects en mandat de dépôt à la sinistre prison de Gabode.
C'est sous la pression et le chantage des proches contre les présumés complices, qui ont été obligé de céder en retirant leur accusation de peur que l'affaire ne s'ébruite, que les deux accusés ont pu être libérés.
Des complices, dit-on, qu'ils feraient partie de l'entourage immédiat de la première dame et qu'ils auraient, tout fait, d'une part, pour minimiser leur rôle dans cette affaire, et d'autre part, participer pour précipiter l'inculpation des deux suspects.
Il semblerait que la première dame, KMH, à priori mal informée, a été surprise de voir les deux employés libérés pour insuffisance de preuve. Il faut dire que les personnes de son entourage, soupçonnées de complicité, et qui jouissent de sa confiance, ont tout fait pour étouffer cette affaire en lui cachant volontairement la vérité.
"
http://www.djibouti24.com/index.php?option=com_content&view=article&id=301%3Arebondissement-dans-le-vol-des-hangars-de-kmh&catid=1%3Alatest-news&lang=fr
Mais selon la rumeur, ils auraient été libérés après les pressions familiales sur le parquet. Les proches du magasinier et du chauffeur ont exigé leur libération, à moins d'inculper aussi leurs complices.
Apparemment, les prévenus auraient tenté de dénoncer, en vain, leurs complices auprès des enquêteurs, peu de temps après leur arrestation, en donnant les noms de ceux qui étaient impliqués avec eux dans ce vol.
Se basant uniquement sur les éléments l'enquête de la SRD (Service des Recherches et de la Documentation) de la gendarmerie nord, le parquet avait placé les deux suspects en mandat de dépôt à la sinistre prison de Gabode.
C'est sous la pression et le chantage des proches contre les présumés complices, qui ont été obligé de céder en retirant leur accusation de peur que l'affaire ne s'ébruite, que les deux accusés ont pu être libérés.
Des complices, dit-on, qu'ils feraient partie de l'entourage immédiat de la première dame et qu'ils auraient, tout fait, d'une part, pour minimiser leur rôle dans cette affaire, et d'autre part, participer pour précipiter l'inculpation des deux suspects.
Il semblerait que la première dame, KMH, à priori mal informée, a été surprise de voir les deux employés libérés pour insuffisance de preuve. Il faut dire que les personnes de son entourage, soupçonnées de complicité, et qui jouissent de sa confiance, ont tout fait pour étouffer cette affaire en lui cachant volontairement la vérité.
"
http://www.djibouti24.com/index.php?option=com_content&view=article&id=301%3Arebondissement-dans-le-vol-des-hangars-de-kmh&catid=1%3Alatest-news&lang=fr
"Qu'arrive t-il à Aden Robleh Awaleh ?"
"Aden Robleh Awaleh semble s'éloigner chaque jour un peu plus des attentes des citoyens, et des préoccupations de ses partisans, au point de décevoir ses (futurs) électeurs et électrices. Mais que lui arrive t-il?
A quelques semaines de l'échéance électorale, Aden Robleh Awaleh (ARA) semble s'éloigner lentement, mais surement, des aspirations du peuple djiboutien, en premier lieu celles des lecteurs et lectrices de son journal, La République.
Pourtant, l'homme passait encore hier comme le challanger, le candidat potentiellement sérieux, capable en toute légitimité, de faire face à IOG. Beaucoup voyait en lui le candidat par défaut de l'opposition djiboutienne. Une opposition à la recherche d'elle même et de son identité.
Le peuple djiboutien a voulu croire en lui. Il pouvait symboliser l'alternance, le changement , et pour cela il suffissait juste de rassurer l'électorat. Mais au lieu de cela, ARA, comme poussé par une force invisible, par quelque chose de plus fort que lui, s'enferme dans une toute autre logique.
Si l'homme amusait, dans le passé, par ses frasques, ses insultes et ses rares critiques dans les colonnes de La Républlique, unique journal de l'opposition. Aujourd'hui, l'heure est grave. Parce que c'est pour bientôt les élections présidentielles. Parce que être candidat aux élections présidentielles, est une chose sérieuse. Les djiboutiens et les djiboutiennes ne veulent plus rire, ils ne veulent plus s'amuser. Ils ont d'autres préoccupations majeures, comme, qui choisir pour leur avenir ? Ils veulent choisir le meilleur candidat, à qui ils confieront leurs destinées.
Au lieu de bien préparer sa campagne, de finaliser son programme politique, d'affiner sa stratégie, de commencer à convaincre, de ..., de ..., et de ...., ARA a préféré persister dans son délire inné.
A quelques semaines de l'échéance électorale, caricaturer, comme un bambin du primaire, le couple présidentiel dans son journal, et de grâce à la une, est à priori son unique programme et son passe-temps favori.
N'en déplaise à ses lecteurs et lectrices, n'en déplaise à son électorat (potentiel ?), l'homme n'a rien de prévu pour l'heure, excepté, bien sûr, encore et toujours, des insultes gratuites, des critiques dont la plupart sont largement inspirées par Djibouti24, et une photo-portrait pour rappeler à tous et à toutes qu'il est candidat à la présidentielle d'avril 2011. A priori, ARA ne semble être concerné par les attentes des uns et les aspirations des autres.
A chaque sortie de La République, devenu bimensuel faute de moyens, correspond à une chance à saisir pour convaincre, pour redresser la barre, pour se démarquer. Mais pour l'instant, chaque sortie de La République est une occasion pour décevoir davantage, une occasion qui aggrave irrémédiablement, chaque jour, un peu plus, le fossé qui sépare ARA de ses lecteurs/lectrices, ou de ses électeurs/électrices
Aujourd'hui, grâce à ARA, le PND est dépourvu de tout. Il est dépourvu de programme, de financement, de conviction, de candidat sérieux, et surtout le parti manque de vision et d'ambitions. Il semblerait que l'homme mise sur les tractations secrètes, à l'issue incertaine, engagées avec certains responsables de l'UMP et portant sur les conditions de son retour, pour sauver la face.
Sa dernière conférence de presse au Sheraton Hôtel, organisée sous la pression de l'ONG américaine, Democracy International (sinon la RTD n'y serait jamais allé), et financée par celle ci, était peut être l'ultime chance d'inverser les choses, d'annoncer son programme, de montrer un peu de sérieux, bref de convaincre, et de signer son retour. ARA a saisi la chance et parlé de son programme politique. Nous avions mis en ligne la partie (courte!) de la conférence de presse concernant son programme politique.
Pour ce qui nous concerne, nous avons encore foi, un tant soit peu, à ARA et au PND, comme a foi Democracy International.
Qu'ARA se surpasse, qu'il nous surprenne. Qu'il nous propose quelques choses de sérieux.
A moins que ça ne soit difficile pour lui de changer de registre, car c'est tellement devenu une passion, une seconde nature pour lui de garder la même ligne éditoriale. Si c'était le cas, nous ne pourrions rien y faire. N'a t-on pas déjà dit ; chasser le naturel, et il revient au galop ?
A moins qu'IOG eût raison en disant d'ARA, lors du congrès du RPP du 25 décembre dernier, qu'il était, à lui tout seul, à la fois le président du parti (PND), les membres du bureau politique, les adhérents, le comité exécutif, etc...
Dans ce cas, dites nous alors, quand est ce qu'il sera un candidat sérieux et crédible ?
"
http://www.djibouti24.com/index.php?option=com_content&view=article&id=300%3Aquarrive-t-il-a-aden-robleh-awaleh-&catid=1%3Alatest-news&lang=fr
A quelques semaines de l'échéance électorale, Aden Robleh Awaleh (ARA) semble s'éloigner lentement, mais surement, des aspirations du peuple djiboutien, en premier lieu celles des lecteurs et lectrices de son journal, La République.
Pourtant, l'homme passait encore hier comme le challanger, le candidat potentiellement sérieux, capable en toute légitimité, de faire face à IOG. Beaucoup voyait en lui le candidat par défaut de l'opposition djiboutienne. Une opposition à la recherche d'elle même et de son identité.
Le peuple djiboutien a voulu croire en lui. Il pouvait symboliser l'alternance, le changement , et pour cela il suffissait juste de rassurer l'électorat. Mais au lieu de cela, ARA, comme poussé par une force invisible, par quelque chose de plus fort que lui, s'enferme dans une toute autre logique.
Si l'homme amusait, dans le passé, par ses frasques, ses insultes et ses rares critiques dans les colonnes de La Républlique, unique journal de l'opposition. Aujourd'hui, l'heure est grave. Parce que c'est pour bientôt les élections présidentielles. Parce que être candidat aux élections présidentielles, est une chose sérieuse. Les djiboutiens et les djiboutiennes ne veulent plus rire, ils ne veulent plus s'amuser. Ils ont d'autres préoccupations majeures, comme, qui choisir pour leur avenir ? Ils veulent choisir le meilleur candidat, à qui ils confieront leurs destinées.
Au lieu de bien préparer sa campagne, de finaliser son programme politique, d'affiner sa stratégie, de commencer à convaincre, de ..., de ..., et de ...., ARA a préféré persister dans son délire inné.
A quelques semaines de l'échéance électorale, caricaturer, comme un bambin du primaire, le couple présidentiel dans son journal, et de grâce à la une, est à priori son unique programme et son passe-temps favori.
N'en déplaise à ses lecteurs et lectrices, n'en déplaise à son électorat (potentiel ?), l'homme n'a rien de prévu pour l'heure, excepté, bien sûr, encore et toujours, des insultes gratuites, des critiques dont la plupart sont largement inspirées par Djibouti24, et une photo-portrait pour rappeler à tous et à toutes qu'il est candidat à la présidentielle d'avril 2011. A priori, ARA ne semble être concerné par les attentes des uns et les aspirations des autres.
A chaque sortie de La République, devenu bimensuel faute de moyens, correspond à une chance à saisir pour convaincre, pour redresser la barre, pour se démarquer. Mais pour l'instant, chaque sortie de La République est une occasion pour décevoir davantage, une occasion qui aggrave irrémédiablement, chaque jour, un peu plus, le fossé qui sépare ARA de ses lecteurs/lectrices, ou de ses électeurs/électrices
Aujourd'hui, grâce à ARA, le PND est dépourvu de tout. Il est dépourvu de programme, de financement, de conviction, de candidat sérieux, et surtout le parti manque de vision et d'ambitions. Il semblerait que l'homme mise sur les tractations secrètes, à l'issue incertaine, engagées avec certains responsables de l'UMP et portant sur les conditions de son retour, pour sauver la face.
Sa dernière conférence de presse au Sheraton Hôtel, organisée sous la pression de l'ONG américaine, Democracy International (sinon la RTD n'y serait jamais allé), et financée par celle ci, était peut être l'ultime chance d'inverser les choses, d'annoncer son programme, de montrer un peu de sérieux, bref de convaincre, et de signer son retour. ARA a saisi la chance et parlé de son programme politique. Nous avions mis en ligne la partie (courte!) de la conférence de presse concernant son programme politique.
Pour ce qui nous concerne, nous avons encore foi, un tant soit peu, à ARA et au PND, comme a foi Democracy International.
Qu'ARA se surpasse, qu'il nous surprenne. Qu'il nous propose quelques choses de sérieux.
A moins que ça ne soit difficile pour lui de changer de registre, car c'est tellement devenu une passion, une seconde nature pour lui de garder la même ligne éditoriale. Si c'était le cas, nous ne pourrions rien y faire. N'a t-on pas déjà dit ; chasser le naturel, et il revient au galop ?
A moins qu'IOG eût raison en disant d'ARA, lors du congrès du RPP du 25 décembre dernier, qu'il était, à lui tout seul, à la fois le président du parti (PND), les membres du bureau politique, les adhérents, le comité exécutif, etc...
Dans ce cas, dites nous alors, quand est ce qu'il sera un candidat sérieux et crédible ?
"
http://www.djibouti24.com/index.php?option=com_content&view=article&id=300%3Aquarrive-t-il-a-aden-robleh-awaleh-&catid=1%3Alatest-news&lang=fr
"Des blessés de Lughaya évacués à Djibouti"
"Des individus blessés par balles et originaires de la Somaliland viennent d'être évacués à Djibouti.
Des individus ont été transportés en urgence tôt ce matin dans la capitale, après avoir été blessés par balles dans une fusillade à Loughaya, localité située à quelques kilomètres à l'est de Zeila.
Ils étaient venus à Loughaya afin de participer à la cérémonie d'intronisation du nouveau sultan des SAAD MOUSSA, un sous-clan des HARBAR AWAL, du clan ISSAQ, quand subitement d'autres individus armés ont ouvert le feu. La police somalilandaise n'a rien confirmé pour l'instant, mais d'après les premiers témoins, on ne déplore aucun mort, mais seulement une quinzaine de blessés dont les plus graves ont été évacués vers Djibouti.
L'identité des agresseurs, qui ont pris la fuite à bord d'un 4x4, est encore inconnue, mais l'on soupçonne fortement les MAHAD ASSE, du clan GADABOURSI, d'être les auteurs de la fusillade. Ces derniers avaient menacés à plusieurs reprises les organisateurs et fait savoir leurs hostilités quant à l'organisation d'une telle cérémonie sur leurs terres.
Loughaya est actuellement peuplé par deux sous-clans, à savoir les MAMASAN du clan ISSA et les MAHAD ASSE du clan GADABOURSI.
Mais il semblerait que les SAAD MOUSSA du clan ISSAQ avaient l'habitude, depuis la nuit des temps, d'organiser la cérémonie d'intronisation de leur sultan à Lougyaha, à l'instar de l'OGASS des ISSAS à Zeila.
C'est la deuxième fois en moins de 6 mois que la localité de Loughaya est sous le feu des projecteurs. En effet, il y a déjà quelques mois, 300 rebelles de l'ONLF en guerre contre le gouvernement central d'Addis Abeba avaient débarqués sur les côtes de Loughaya en septembre dernier.
La situation était tendue dans cette partie du Somaliland surtout depuis l'arrivée de Silanyo au pouvoir en juillet dernier. Mais le calme semblait être revenu dans la localité après l'arrivée de l'armée en provenance de Zeila."
http://www.djibouti24.com/index.php?option=com_content&view=article&id=299%3Ades-blesses-de-lughaya-evacues-a-djibouti&catid=1%3Alatest-news&lang=fr
Des individus ont été transportés en urgence tôt ce matin dans la capitale, après avoir été blessés par balles dans une fusillade à Loughaya, localité située à quelques kilomètres à l'est de Zeila.
Ils étaient venus à Loughaya afin de participer à la cérémonie d'intronisation du nouveau sultan des SAAD MOUSSA, un sous-clan des HARBAR AWAL, du clan ISSAQ, quand subitement d'autres individus armés ont ouvert le feu. La police somalilandaise n'a rien confirmé pour l'instant, mais d'après les premiers témoins, on ne déplore aucun mort, mais seulement une quinzaine de blessés dont les plus graves ont été évacués vers Djibouti.
L'identité des agresseurs, qui ont pris la fuite à bord d'un 4x4, est encore inconnue, mais l'on soupçonne fortement les MAHAD ASSE, du clan GADABOURSI, d'être les auteurs de la fusillade. Ces derniers avaient menacés à plusieurs reprises les organisateurs et fait savoir leurs hostilités quant à l'organisation d'une telle cérémonie sur leurs terres.
Loughaya est actuellement peuplé par deux sous-clans, à savoir les MAMASAN du clan ISSA et les MAHAD ASSE du clan GADABOURSI.
Mais il semblerait que les SAAD MOUSSA du clan ISSAQ avaient l'habitude, depuis la nuit des temps, d'organiser la cérémonie d'intronisation de leur sultan à Lougyaha, à l'instar de l'OGASS des ISSAS à Zeila.
C'est la deuxième fois en moins de 6 mois que la localité de Loughaya est sous le feu des projecteurs. En effet, il y a déjà quelques mois, 300 rebelles de l'ONLF en guerre contre le gouvernement central d'Addis Abeba avaient débarqués sur les côtes de Loughaya en septembre dernier.
La situation était tendue dans cette partie du Somaliland surtout depuis l'arrivée de Silanyo au pouvoir en juillet dernier. Mais le calme semblait être revenu dans la localité après l'arrivée de l'armée en provenance de Zeila."
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